mardi 29 décembre 2015

Édouard Champion (1882-1938)

  • Aux commerçants français de Londres / par Édouard Champion.- [Abbeville : impr. F. Paillard, 1928].- 21 p. ; 16,5 cm.- (Les Amis d'Édouard ; 135).
    • Tiré à 206 exemplaires hors commerce dont : 6 exemplaires sur Japon impérial numérotés I à 6. Et 200 exemplaires sur Arches numérotés de 7 à 206, pour les Amis d'Édouard. Exemplaire n°190. Contient la liste des titres de la collection (1 à 134).
    • Causerie faite au déjeuner mensuel de mai de la Chambre de Commerce française de Londres.

mardi 22 décembre 2015

Jean Giono (1895-1970)

  • Rondeur des jours suivi d'un texte / Jean Giono.- 2e édition.- Alger (2bis, rue Charras) : Éditions Charlot, [ca1940].- 38 p. ; 20 cm.
    • L'édition originale, maintenant épuisée de Rondeur des jours a été tirée à trois cent cinquante exemplaires sur pur fil Lafuma pour les Amis des Vraies Richesses.

mardi 15 décembre 2015

Honoré de Balzac (1799-1850)

  • Les Parisiens comme ils sont : 1830-1846 (suivi du) Traité de la vie élégante / H. de Balzac ; introduction et notes de André Billy de l'Académie Goncourt.- Genève : La Palatine, 1947.- XVI-218 p.-XVIII f. de pl. : couv. ill. ; 20,5 cm.- (Témoignages ; 6).


mardi 8 décembre 2015

Marcel Schwob (1867-1905)

  • Chroniques (inédit) / Marcel Schwob.- A Paris (73, rue des Saint-Pères) : Typographie François Bernouard, 1928.- 272 p. ; 21,5 cm.- (Les œuvres complètes de Marcel Schwob).
    • Il a été tiré de cet ouvrage : 10 exemplaires sur Japon numérotés de 1 à 10 ; 50 exemplaires sur Hollande numérotés de 11 à 60 ; 200 exemplaires sur Arches numérotés de 61 à 260 ; 1240 exemplaires sur Vergé numérotés de 261 à 1500. Plus 50 exemplaires de Chapelle, sur vergé Muller lettrés de A à Z, de a à z. N° du présent exemplaire 696.

mardi 1 décembre 2015

Romain Rolland (1866-1944)

  • Clérambault : Histoire d'une Conscience libre pendant la Guerre / Romain Rolland.- Paris (50, Chaussée d'Antin) : Société d'éditions littéraires et artistiques - Librairie P. Ollendorff, 1920.- 377 p. ; 17 cm.

    • Il a été tiré à part de cette édition : Trente exemplaires sur papier du Japon, numérotés de I à XXX ; trois cent cinquante exemplaires sur vergé d'Arches numérotés de 1 à 350. [Exemplaire] n°214.

mardi 24 novembre 2015

Gustave Flaubert (1821-1880)

  • Un cœur simple (précédé des) Mémoires d'un fou (et de) Novembre / Gustave Flaubert ; introduction et notes par René Dumesnil.- Monaco (5, rue des Vieilles Casernes) : Éditions du Rocher, 1946.- XXXIV-174 p., couv. ill. ; 23 cm.- (Grands et petits chefs-d'œuvre).
    • Le présent ouvrage a été achevé d'imprimer sur les presses de l'imprimerie Plon, à Meaux, le 30 octobre 1946, à 5700 exemplaires dont 200 numérotés de 1 à 200, réservés à la librairie de La Madeleine, Paris, et 200 exemplaires de presse, marqué S.P.

mardi 17 novembre 2015

Paul Léautaud (1872-1956)

  • Choix de Pages de Paul Léautaud / par André Rouveyre, avec une introduction, des illustrations et des documents bibliographiques.- Paris : Éditions du Bélier, 1946.- 364 p.-[10] f. de pl. ; 25 cm.- (Les documents littéraires).
    • Il a été tiré de cet ouvrage, cinquante exemplaires sur pur chiffon d'Arches, numérotés de 1 à 45 et de I à IV ; trois cent cinquante exemplaires sur vergé gothique teinté numérotés de 46 à 380 et de VI à XX. Les exemplaires sur pur chiffon de Rives [?] sont accompagnés d'une lithographie originale de Matisse.


mardi 10 novembre 2015

Pierre Mac Orlan (1882-1970)

  • Images sur la Tamise : Oxford, New-Scotland Yard, Poplar : reportage / Pierre Mac Orlan.- Paris (6, rue Blanche) : Aux éditions du Sagittaire chez Simon Kra, 1925.- Huitième édition.- 160 p. ; 19 cm.
    • Il a été tiré de cet ouvrage 10 exemplaire sur Japon impérial, numérotés de 1 à 10 ; 35 exemplaires sur Hollande Van Gelder Zonen, numérotés de 11 à 45 ; 250 exemplaires sur pur fil Lafuma, numérotés de 46 à 205.

mardi 3 novembre 2015

Julien Gracq (1910-2007)

  • La Littérature à l'estomac / Julien Gracq.- Paris : Jean-Jacques Pauvert, 1964.- 104 p. ; 18 cm.- (Libertés ; 10).

mardi 27 octobre 2015

Voltaire (1694-1778)

  • Ce qui plaît aux dames : conte / de Voltaire ; illustrations de Armand Rels, gravées sur bois par André Baudier, [ornements et maquette typographiques de Xavier Havermans].- Paris (5, rue Gay-Lussac) : Xavier Havermans, 1924.- 24 p. : ill. ; 23 cm.
    • Ce ouvrage, achevé d'imprimer le vingt-neuf février mil neuf cent vingt-quatre, sur les presses de Coulouma, à Argenteuil, H. Barthélemy étant directeur, a été tiré à deux cents exemplaires, numéroté de 1 à 200, savoir : 1 exemplaire unique sur Japon blanc à la cuve, n°1 ; 12 exemplaires sur Japon blanc à la cuve, numéroté de 2 à 13 ; 112 exemplaires sur vieux Japon, numérotés de 15 à 25, et 175 exemplaires sur papier d'Arches, numérotés de 26 à 200. En outre il a été tiré 20 exemplaires hors commerce numérotés de I à XX. Exemplaire n°74.



AVERTISSEMENT DE L’ÉDITEUR

Nous avons choisi pour la publication de ce conte de Voltaire, le texte de l'édition originale paru en 1764 sans nom de libraire, ni d'imprimeur. On y lit pour toute adresse au bas du frontispice : Partout chez des libraires françois 1764. Voltaire ne voulant pas que son nom figurât en tête de ce conte, imagina de faire imprimer en première page un avertissement au lecteur dont nous reproduisons le texte. Par la suite, cette pièce fut classée parmi les conte de Guillaume Vadé.

AVIS

On nous a envoyé par la Poste le Poëme suivant : c'est un conte très ingénieux, & d'un coloris agréable. Nous en ignorons l'auteur, mais qui que ce puisse être, il doit nous pardonner d'avoir mis au jour cet ouvrage : nous n'avons eu d'autre dessein que de procurer quelques momens de plaisir à tous les gens de goût.

mardi 20 octobre 2015

Édouard Kums (1811-1891)

  • Catalogue des tableaux de maîtres anciens et modernes des écoles flamande, française, hollandaise, etc. et des tapisseries, etc. composant le musée formé à Anvers par M. Édouard Kums,… , dont la vente aux enchères publiques aura lieu en l’hôtel Kums, marché aux Chevaux, n°58-60, à Anvers, les mardi 17 et mercredi 18 mai 1898 à deux heures et demie précises,… - Anvers : J.-E. Buschmann, 1898.- XVI-170 p.-[55] f. de pl. ; 34,5 cm.
    • Il a été tiré de ce catalogue. Mille exemplaires sur papier de Hollande. Cinquante exemplaires sur papier Japon, numérotés de 1 à 50.


PRÉFACE

LA Collection Kums, dont la vente est annoncée, a fait dans les vingt-cinq dernières années l'orgueil d'Anvers ; sa dispersion laissera un vide pénible pour ceux qui regardent l'étude des merveilles de l'art comme une des grandes joies de la vie.

Elle fut formée par un de ces hommes appartenant au milieu positif de l'industrie et du commerce qui se prennent un beau jour d'un vif enthousiasme pour les créations d'un monde tout différent : celui qui reconnaît la beauté pour souveraine et cherche à traduire ses impressions plus affinées par les effets de la couleur et de la lumière.
  
Monsieur Édouard-Pierre-Rombaut Kums appartenait bien à cette intéressante catégorie d'amateurs. Né le 23 Janvier 1811, il avait fabriqué et vendu, bien des années, de la toile à voile avant de se soucier d'une autre espèce de toile destinée à un usage plus noble. Une révolution se fit dans ses préoccupations, quand, après s'être retiré des affaires, il se lia d'amitié avec le peintre Henri Leys.
  
De l'aveu de tous ceux qui ont connu ce maître hors ligne de l'école moderne anversoise, c'était non seulement un incomparable manieur du pinceau, mais encore un esprit distingué, richement pourvu de connaissances variées, d'un entretien instructif et charmant. Il éveilla dans l'âme de son ami les aptitudes et les penchants qui y sommeillaient, et lui fit contracter les goûts artistiques qui devaient l'honorer et qui l'absorbèrent de plus en plus complètement.
   
M. Kums ne pouvait faire son apprentissage sous un connaisseur d'un goût plus sûr et plus élevé. Il s'éprit donc du bel art de la peinture. Sa première admiration alla naturellement aux œuvres de son guide et certes jamais prédilection ne fut mieux justifiée. Il n'acquit pas d'œuvre de grande envergure de Leys, mais les cinq pièces qu'il possédait de lui se répartissent entre les différentes époques du maître et ses manières si nettement distinctes. Le plus considérable et le plus exquis de ces panneaux, les Femmes Juives à la nouvelle Synagogue de Prague, présente la particularité qu'il a été fait au retour du voyage de Leys dans le pays des Holbein et des Cranach, excursion qui eut une influence décisive sur la dernière période de sa carrière artistique. Il fut peint à un moment où l'artiste allait quitter la voie du romantisme pour aborder sa manière archaïque. Un autre, Rigolette, appartenant à sa manière antérieure, est une délicieuse figurine, brillant de la double grâce dont la parent sa propre jeunesse et l'exquis pinceau du maître au coloris éclatant et juvénile. La Marguerite, par contre, est une œuvre de la maturité du peintre, converti au style sévère de l'histoire et faisant revivre d'une vie nouvelle et intense les traditions et les personnages des anciens et purs Flamands.
   
Le nouvel amateur ne s'abandonna pas éperdument à sa jeune passion. Homme de réflexion et de méthode, il s'avança plutôt lentement pour marcher sûrement, cédant peu aux attraits de l'occasion accidentelle, visant haut pour échapper à la banalité et à l'encombrement.
   
Il fut prudent, nous dirions volontiers trop prudent, dans ses acquisitions d'œuvres des artistes du pays natal. Outre les Leys, un tableautin de Dyckmans, le travailleur précieux entre tous, trois de Madou, un portrait de Gallait, un Joseph Stevens, le robuste animalier, et surtout deux Alfred Stevens, dont l'un est cet admirable Atelier où le peintre se représente lui-même, interrogeant son modèle et lui demandant le mot de l'éternelle et captivante énigme féminine. Tous ces morceaux de choix prouvent que, si le collectionneur se contentait de glaner sur le vaste champ de l'art national moderne, il sut y recueillir des œuvres de réelle valeur.
   
Certes, il n'échappa pas toujours à la tentation des circonstances et, à ses débuts, il sacrifia peut-être jusqu'à un certain point au désir de posséder au moins une œuvre des artistes belges alors en renom ; mais il ne chercha jamais à compléter sa collection en ce sens, et on y chercherait vainement un artiste belge né après 1830.

Parmi les modernes c'étaient à peu près exclusivement les Français de la grande école qui l'attiraient. Il voyait en eux, et non sans raison, les classiques de notre siècle dont la haute réputation ne reposait pas sur un engouement du moment, mais sur les solides bases d'un sentiment profond et d'une facture personnelle. Sur eux se portait son choix raisonné, son enthousiasme durable. Vers 1870, il se lia d'un culte commun pour la grande école avec l'éminent amateur Jules van Praet et c'est à qui des deux se rendrait maître des œuvres les plus magistrales et les plus délicates.
   
Dans ses vieux jours, M. Kums revenait avec orgueil sur ses plus remarquables acquisitions de ce genre et il n'avait pas de peine à faire partager son admiration pour ces œuvres d'élite. Le Pays de la Soif de Fromentin, où la grandiose désolation de la nature encadre harmonieusement la tragédie silencieuse de la souffrance humaine, est une page épique que la postérité citera parmi les impérissables produits des maîtres d'autrefois. Le Crépuscule de Jules Dupré, où, dans des accords tour à tour doux et graves, mais toujours d'une pénétrante séduction, l'artiste ravi chante les magies vespérales de la nature ; le Site italien, de Marilhat, avec sa splendeur d'un coloris puissant et varié ; le Matin, de Corot, si vaporeux et si virginal ; *les Gorges d'Apremont*, de Diaz, si féerique ; *la Mare*, de Théodore Rousseau, de facture simple et de sentiment empoignant ; ce sont là autant de paysages exhalant la poésie de la terre sous ses divers aspects. A côté d'eux, Millet, dans sa *Porteuse d'eau*, fait revivre l'enfant de la nature ; Diaz, le fantaisiste ; Meissonnier, l'émailleur scrupuleux de la vérité, représentent la civilisation raffinée ; Decamps, Eugène Delacroix, avec sa page magistrale, *le Passage d'un gué au Maroc*, et Gérome y ajoutent les habitants de l'Orient, parés de la splendeur dont les revêtent ceux qui reviennent de ce pays des rêves. Les monumentales vaches de Troyon terminent dignement ce chapitre éclatant de notre catalogue.
   
Malgré sa préférence marquée pour les maîtres français, M. Kums ne dédaignait pas les produits d'autres écoles modernes ; mais toujours son choix se portait sur leurs représentants les plus illustres. Les noms d'Alma Tadema, de Boldini, de Bonington, de Brozik, de Fortuny, de Munkaczy, et de Goya, ce maître si primesautier et si moderne, quoique de par la chronologie on le range parmi les anciens, attestent combien son éclectisme était éclairé.

De bonne heure, il s'éprit des glorieux artistes de l'ancienne école hollandaise. Ils sont largement et brillamment représentés dans sa collection ; ils en formèrent le premier noyau et en restèrent un des grands attraits. Impossible d'en énumérer la longue série. Citons le portrait du jeune Rembrandt en seigneur oriental, datant de l'époque romantique où le grand maître se plaisait à se reproduire, attifé de draperies et d'atours de haute fantaisie et de coloris chatoyant ; Thomas De Keyser et Frans Hals, ses grands précurseurs ; son fascinant épigone Jean Vermeer de Delft. Burger, qui fut le premier à proclamer la valeur exceptionnelle de ce dernier maître et à faire ressortir les charmes de ce sphinx, était parvenu, non à retrouver, mais à énumérer deux ou trois douzaines des œuvres de ce peintre, rare entre tous. Parmi celles qui, en 1860, ne lui étaient connues que de nom, il cite deux Mathématiciens dont il suivit les traces à travers différentes collections vendues en 1713, 1720, 1729, 1797 et exhortait « les dénicheurs de raretés » à les rechercher. Il eut le bonheur de les dénicher lui-même et de reconstituer, dans la collection Péreire, la paire de savants. Seulement les jumeaux artistiques avaient alors changé de nom et s'appelaient, l'un le Géographe, l'autre l'Astrologue. A la vente Péreire, ils furent de nouveau séparés et l'un des deux fut recueilli dans la collection Kums.
   
Il s'y trouve avec nombre d'autres petits maîtres qui furent de grands peintres de la vie réelle : les Adrien Brouwer, les Jan Steen, les Adrien Van Oostade tous admirablement représentés ; le peintre du grand et du demi-monde, Gérard Terburg, qui possède ici un portrait de prince d'une délicatesse aristocratique, et une scène de la vie des lansquenets, exubérante de couleur et de bonne humeur ; le peintre des mœurs bourgeoises et galantes, Gabriel Metsu, représenté par un panneau d'une facture remarquablement solide et large ; les éminents paysagistes : Hobbema, dont nous trouvons ici une œuvre fort importante et vigoureuse de son jeune temps ; Jacques Van Ruisdael, avec un site d'une belle fraîcheur de coloris ; Van Goyen, si grandiose dans sa simplicité ; puis encore Van der Heyden, le miniaturiste, amoureux des façades ensoleillées ; Em. De Witte, se délectant à épier le jeu de la lumière dans les nefs des vieilles églises ; Guillaume Van de Velde, le peintre de la mer calme et de la voile blanche, tendue au vent et à la lumière ; les animaliers incomparables qui s'appellent Albert Cuyp, Karel Du Jardin, Nicolas Berchem, et celui qui se rencontre en dernier lieu sous ma plume, Paul Potter, dont la délicieuse Ferme avec pâturage mériterait d'être citée à la tête des joyaux artistiques que nous venons d'énumérer.
   
Le créateur de cette galerie était trop bon Anversois pour négliger les peintres qui font la gloire de sa ville natale. Ce fut surtout dans la seconde moitié de sa carrière de collectionneur qu'il les rechercha. Ici encore son choix se porta en premier lieu sur les plus dignes, sur les quatre grands maîtres du XVIIe siècle.
   
De Rubens, il acquit, outre le Paracelse, à la carnation moelleuse, la charmante grisaille du portrait du comte-duc d'Olivarez, faite en 1626 par l'illustre Anversois pour son graveur Pontius, œuvre dont le ministre espagnol tout puissant remercia l'auteur dans une lettre autographe. C'est un des deux ou trois grands encadrements de ce genre que produisit le peintre si fertile et si ingénieux dans ses créations emblématiques ; le portrait qu'il y plaça n'a pas de prétention à la ressemblance : il laissa au graveur le soin de reproduire une effigie exacte.
   
De Van Dyck la collection ne renferme qu'un morceau, mais c'est un des chefs-d’œuvre du grand portraitiste anversois, exécuté con amore, dans ce ton doré qui le caractérise après son retour d'Italie. Le Martin Pepyn fut peint en 1632, à la veille du second départ de Van Dyck pour Londres. Aux bords de la Tamise, sa facture soignée, son riche coloris allaient faire place aux pâles teintes de gris argenté et à une exécution trop souvent sommaire et hâtive ; ici, nous nous trouvons devant une des dernières œuvres de sa plus belle manière, saturée de chaude lumière comme un coucher de soleil radieux.
   
De Jordaens, le Flamand au rire, ample et retentissant et au coloris inondé de clartés ardentes et joyeuses, nous trouvons un Repos de Diane fait en collaboration avec le grand peintre de nature-morte François Snyders. De même que ses autres compositions favorites, Jordaens reproduisit plusieurs fois ce sujet. Dans la galerie del Marmol, il s'en trouvait un exemplaire plus petit ; le Musée de l'Ermitage en possède un de dimensions plus considérables. Ceci soit dit pour expliquer comment l'une des anciennes gravures, reproduisant le sujet, peut montrer les nymphes moins vêtues qu'elles ne le sont dans le présent tableau, sans que l'on soit autorisé à en conclure que, dans ce dernier, une autre main que celle de Jordaens voila les nudités des compagnes de Diane. Le maître lui-même fournit la variante.
   
De Teniers, le peintre aristocratique des paysanneries, nous rencontrons quatre petits sujets, tous de facture également leste et spirituelle.
   
Le collectionneur ne se restreignit pas dans l'école flamande aux œuvres de ce quatuor illustre ; nous n'en voulons pour preuve que le portrait d'homme rubénien et le Calvaire gothique, deux œuvres dont l'attribution peut prêter à la controverse, mais dont le grand mérite est incontestable.
   
Monsieur Kums mourut octogénaire, le 10 Février 1891 (1). Jusqu'à la fin de sa vie, il resta fidèle à son noble culte, assistant aux ventes, épiant les occasions, s'intéressant aux choses de l'art et d'une complaisance infatigable à faire les honneurs de ses trésors.
   
Sa collection était logée, à cette époque, dans l'aile droite du superbe hôtel qu'il habitait et dont il avait disjoint l'aile gauche. L'habitation ainsi réduite n'offrait pas assez d'espace pour les œuvres d'art qui s'y étaient accumulées et qui comprenaient, outre les tableaux, des porcelaines, de l'argenterie, des meubles de prix. Non seulement les vastes salons du rez-de-chaussée étaient tapissés de peintures, mais tout le long de l'escalier et dans les appartements grands et petits de l'étage, les murs en étaient couverts.
   
Les deux enfants du défunt amateur partageaient ses goûts. Mademoiselle Kums rédigea le catalogue descriptif de la collection paternelle ; Monsieur Armand Kums, fils, dont la mort prématurée est tant regrettée, n'eut rien de plus empressé, en 1891, que de fournir une digne installation aux œuvres d'art réunies par son père.
   
Les deux parties de l'hôtel primitif furent réunies en un vaste et somptueux ensemble ; les tableaux furent exposés dans les quatre grands salons du rez-de-chaussée. Avec l'ameublement authentique du XVIIIe siècle, avec les tapisseries bruxelloises de la même époque et de grande
allure, ils formèrent un de ces intérieurs de palais de grand seigneur, ami des arts, comme nos contrées jadis en connurent beaucoup, mais qui tendent malheureusement de plus en plus à disparaître. De 1891 à 1897, le « Musée Kums » fut ouvert au public et visité par tous les touristes, étudié par tous les curieux de l'art. Il s'est fermé et ne se rouvrira que pour la lutte qui va s'engager autour des joyaux artistiques qu'il aura abrités pendant un trop court espace de temps.

MAX ROOSES.

(1) Parmi ses nombreux titres, nous citons ceux de membre de la Chambre de commerce, membre de la Commission des prisons, membre honoraire de la Société des Beaux-Arts, Consul honoraire de la Fédération Argentine, Consul de S. A. Monseigneur le duc Ernest II de Saxe-Cobourg-Gotha, président de l'Administration des Polders de Santvliet, officier de l'Ordre de la branche Ernestine de Saxe, chevalier de l'Ordre de Léopold. 


mardi 13 octobre 2015

Ben Jonson (1572–1637)

  • Timber or Discoveries being Observations on Men and Manners / by Ben Jonson ; [ed. by Sir Israel Gollancz,.- London (Aldine House) : J. M. Dent and Co., MCCCXCVIII [1898].- IX-140 p.-[1] f. de pl. en front. ; 15,5 cm.- (The Temple Classics).

mardi 6 octobre 2015

Claude Morgan (1898-1980)


  • La Marque de l'homme / Mortagne [Claude Morgan].- Paris : Aux Editions de Minuit ; Bruxelles : La Renaissance du Livre, [1946].- 86 p. ; 16,5 cm.
    • Les volumes de la présente collection, en tous point conformes à ceux publiés par les Editions de Minuit, sous l'oppression, constituent l'édition publique réservée à la Belgique par un accord conclu avec les Editions de Minuit. Elle a été limitée à 2000 exemplaires numérotés. Exemplaire n°662.
    • Première édition clandestine : 1944.

mardi 29 septembre 2015

Paul Gaschon de Molènes (1821-1862)

 
  • Briolan / par G de Molènes.- Bruxelles (26, rue de la Montagne) : Librairie Encyclopédique de Perichon, 1846 (Imprimerie de N.-J. Slingeneyer jeune -31, rue de Schaerbeek).- 3 vol., 128 + 129 + 122 p. ; 15 cm.- (La Nouveauté littéraire). 






mardi 22 septembre 2015

Georges Adam (1908-1963)


  • A l'appel de la liberté/ Hainaut [Georges Adam].- Paris : Aux Editions de Minuit ; Bruxelles : La Renaissance du Livre, [1946].- 95 p. ; 16,5 cm.
    • Les volumes de la présente collection, en tous point conformes à ceux publiés par les Editions de Minuit, sous l'oppression, constituent l'édition publique réservée à la Belgique par un accord conclu avec les Editions de Minuit. Elle a été limitée à 2000 exemplaires numérotés. Exemplaire n°794.
    • Première édition clandestine : 30 juillet 1944.

mardi 15 septembre 2015

Gérard Harry (1856-1931)


  • Maurice Maeterlinck / par Gérard Harry ; avec une bibliographie, deux héliogravures, neuf autres reproductions et un facsimili d'autographe.- Bruxelles (21 rue d'Assaut) : Charles Carrington Libraire-Éditeur, 1909.- 115 p.-[13] f. de pl. ; 19,5 cm.- (Les Écrivains Français de la Belgique. Première série. Premier volume).
    • Quarante et un exemplaires de cet ouvrage ont été tirés sur papier du Japon, dont onze pour les collaborateurs et leurs Amis. 



NOTE DE L'ÉDITEUR.

En présentant cette monographie de Maurice Maeterlinck aux amateurs de belle littérature, je tiens à
constater que l’idée de publier cette série d’opuscules m’a été inspirée par mon talentueux ami, M. Sander Pierron.

Un jour que nous rendions visite au Nestor des lettres belges, Camille Lemonnier, ce dernier nous
montra une petite biographie illustrée écrite en langue allemande par Johannes Schlaf et publiée sous la haute direction de l'éminent critique, Georges Brandes.

Nous fûmes, M. Pierron et moi, frappés de l’élégance de ce petit volume. Mais j’en signalai quelques
lacunes à mon ami, qui me dit : “Si vous pouvez mieux faire en français, Carrington vous le devriez.” Je saisis la balle au bond. J'acceptai, moyennant que mon ami me secondât en me désignant les biographes compétents. C’est ce que fit M. Pierron, de la meilleure grâce. J'accomplis un devoir en le remerciant ici du service qu'il a rendu ainsi aux lettres belges. Mon programme comporte toute une série de monographies consacrées - chacune dans un volume distinct - aux poètes et prosateurs vivants, dont voici la liste avec les noms de leurs biographes :

CAMILLE LEMONNIER par Maurice des Ombiaux
EMILE VERHAEREN      ,,   Iwan Gilkin
EDMOND PICARD          ,,   Robert van Malderghem
GEORGES EEKHOUD      ,,   Sander Pierron
ALBERT GIRAUD              ,,   Valère Gille.

A cette première série, nous espérons pouvoir en faire succéder périodiquement d’autres, où sera étudiée l’œuvre respective des prosateurs et poètes que voici :

Iwan Gilkin, Eugène Demolder, Van Lerberghe, Fernand Séverin, Maurice des Ombiaux, Louis Delattre, Blanche Rousseau, Henry Maubel, Leopold Courouble, Valère Gille, Marguerite Van de Wiele, Max Elskamp, Grégoire Le Roy, Sander Pierron, Théodore Hannon. Olivier-Georges et Jules Destrée, Hubert Krains, Edmond Glesener, George Garnir, Paul André, Georges Rency, Arthur Daxhelet, Hubert Stiernet, L. Dumont-Wilden, A. Goflin, F. de Croisset, Georges Virrès, André Ruyters, Frans Mahutte, Henry Carton de Wiart, James van Drunen, Emile Van Arenberg, H. Fierens-Gevaert, Henry Nizet, etc.

Chaque Monographie, de format Charpentier, traitant de la vie et l'œuvre du littérateur présenté, aura
cent pages environ de texte.

L'illustration de ces volumes sera particulièrement soignée ; elle comprendra la reproduction de portraits de l'auteur analysé, des coins familiers de sa demeure, des spécimens d'autographes, ainsi que des tableaux, des dessins et des estampes inspirés par ses livres.

Ces Monographies seront mises en vente dans tous les pays de l'Europe française; notre but en les publiant, est de souligner le merveilleux mouvement littéraire de la Belgique, qui a créé des Chefs d’œuvre dont on ne saurait assez proclamer la beauté originale.

mardi 8 septembre 2015

Elsa Triolet (1896-1970)


  • Les Amants d'Avignon / Laurent Daniel [Elsa Triolet].- Paris : Aux Editions de Minuit ; Bruxelles : La Renaissance du Livre, [1946].- 107 p. ; 16,5 cm.
    • Les volumes de la présente collection, en tous point conformes à ceux publiés par les Editions de Minuit, sous l'oppression, constituent l'édition publique réservée à la Belgique par un accord conclu avec les Editions de Minuit. Elle a été limitée à 2000 exemplaires numérotés. Exemplaire n°1132.
    • Première édition clandestine : 1943.

mardi 1 septembre 2015

Robert Campion (1865-1939)

  • Les Clos de Jadis : Tableaux des mœurs normandes / Robert Campion ; bois originaux de Léon Ruffe.- Paris (2, Impasse de Conti, 6e) : Éditions Montaigne, 1926.-213-[4] f. de pl. : couv. ill. ; 19 cm.- (Collection des lettrés ; 6).
    • L'édition originale de cet ouvrage, comprend deux cents exemplaires sur pur fil Lafuma, numérotés de 1 à 200, et cinq cent cinquante exemplaires sur papier alfa, numérotés de 201 à 750. Cet exemplaire porte le N°474.



mardi 4 août 2015

Vacances

Miscellanées (le blogue) prends ses quartiers d'été dans le nord
Reprise des émissions de billets le mardi 1er septembre à 07h30.

mardi 28 juillet 2015

Bibliophilie

  •  Code de la bibliophilie moderne / Maurice Robert ; préface de Francis de Miomandre.- Paris (33, quai des Grands-Augustins, 6e) : Union latine d'éditions, 1936.- 61-IV p.-[6] f. de pl. en noir et en coul. ; 22 cm.
    • Il a été tiré à part de cet ouvrage 20 exemplaires sur Japon nacré, numérotés de 1 à 20, augmenté d'un bois gravé et d'un burin de Decaris.



mardi 21 juillet 2015

Edith Thomas (1909-1970)

  • Contes /  d'Auxois [Edith Thomas].- Paris : Aux Éditions de Minuit ; Bruxelles : La Renaissance du Livre, [1946].- 67 p. ; 16,5 cm.
    • Les volumes de la présente collection, en tous point conformes à ceux publiés par les Éditions de Minuit, sous l'oppression, constituent l'édition publique réservée à la Belgique par un accord conclu avec les Éditions de Minuit. Elle a été limitée à 2000 exemplaires numérotés. Exemplaire n°0977.
    • Première édition clandestine : 1943.

mardi 14 juillet 2015

Charlotte Saumaize de Chazan Brégy (comtesse de, 1619-1693)

  •  La Sphère de la lune composée de la tête de la femme / par Mlle de B**** ; [ill. de Félicien Rops].- Nouvelle édition, augmentée d'un avant-propos.- Bruxelles : Gay et Doucé libraires-éditeurs, 1881.- XX-77 p.-[1] f. de pl. ; 16,5 cm.
    • Imprimé en tout à cinq cents exemplaires. [Exemplaire] n°42.


mardi 7 juillet 2015

Jacques Debû-Bridel (1902-1993)

  • Angleterre : d'Alcuin à Huxley / Argonne [Jacques Debû-Bridel].- Paris : Aux Editions de Minuit ; Bruxelles : La Renaissance du Livre, [1946].- 61 p. ; 16,5 cm.
    • Les volumes de la présente collection, en tous point conformes à ceux publiés par les Editions de Minuit, sous l'oppression, constituent l'édition publique réservée à la Belgique par un accord conclu avec les Editions de Minuit. Elle a été limitée à 2000 exemplaires numérotés. Exemplaire n°1579.
    • Première édition clandestine : 22 septembre 1943.

mardi 30 juin 2015

François de Malherbe (1555-1628)

  • Rondeau inédit de Malherbe sur l'Immaculée Conception / Georges Mancel, [Malherbe].- Caen (36, rue écuyère) : Librairie Normande de E. Le Gost-Clérisse, 1855.- 8 p. ; 22,5 cm.
    • Cet opuscule a été tiré à 50 exemplaires ainsi qu'il suit : 5 sur papier chamois (Pris : 1 fr.) ; 20 sur papier vélin très-fort (75 c.) ; 25 sur papier vélin ordinaire (50 c.)

mardi 23 juin 2015

Jean Cassou (1897-1986)

  • 33 sonnets composés au secret / Jean Noir [Jean Cassou] ; présentés par François la Colère [Louis Aragon].- Paris : Aux Éditions de Minuit ; Bruxelles : La Renaissance du Livre, [1946].- 79 p. ; 16,5 cm.
    • Les volumes de la présente collection, en tous point conformes à ceux publiés par les Éditions de Minuit, sous l'oppression, constituent l'édition publique réservée à la Belgique par un accord conclu avec les Éditions de Minuit. Elle a été limitée à 2000 exemplaires numérotés. Exemplaire n°717.
    • Première édition clandestine : 15 mai 1944.

mardi 16 juin 2015

J.-B. Ambs-Dalès (1802-1857)

  •  Les Amours secrètes des grisettes : le tout rédigé d'après les renseignements donnés par une Grisette / [Jean-Baptiste Dalès dit J.-B. Ambs-Dalès].- Bruxelles : J.-A. Joostens, [1828].- 80 p. ; 15,5 cm.

mardi 9 juin 2015

Clandestinité

  • Chroniques interdites / [Jean Paulhan, Francis Ponge, Yvonne Desvignes, Julien Benda, Jacques Debu-Bridel, Vercors].- Paris : Aux Éditions de Minuit ; Bruxelles : La Renaissance du Livre, [1946].- 90 p. ; 16,5 cm.
    • Les volumes de la présente collection, en tous point conformes à ceux publiés par les Éditions de Minuit, sous l'oppression, constituent l'édition publique réservée à la Belgique par un accord conclu avec les Éditions de Minuit. Elle a été limitée à 2000 exemplaires numérotés. Exemplaire n°1515.
    • Première édition clandestine : Jour de Pâques 1943.

  • Chroniques interdites : 2 / [Charles Morgan, André Gide, Raymond Mortimer, La Valentine, Mauges, Lauter].- Paris : Aux Éditions de Minuit ; Bruxelles : La Renaissance du Livre, [1946].- 92 p. ; 16,5 cm.
    • Les volumes de la présente collection, en tous point conformes à ceux publiés par les Éditions de Minuit, sous l'oppression, constituent l'édition publique réservée à la Belgique par un accord conclu avec les Éditions de Minuit. Elle a été limitée à 2000 exemplaires numérotés. Exemplaire n°1857.
    • Première édition clandestine : 1944.

mardi 2 juin 2015

Marie Gevers (1883-1975)

  • La Petite étoile / Marie Gevers ; lithographies originales d'Albertine Deletaille.- Bruxelles : Éditions des Artistes, 1941.- 37 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 27,5 cm.
    • Il a été tiré cinquante exemplaires de cet ouvrage sur papier simili Japon, constituant l'édition originale et numérotés de 1 à 50.

mardi 26 mai 2015

Jean Guéhenno (1890-1978)

  • Dans la prison /  Cévennes [Jean Guéhenno].- Paris : Aux Éditions de Minuit ; Bruxelles : La Renaissance du Livre, [1946].- 68 p. ; 16,5 cm.
    • Les volumes de la présente collection, en tous point conformes à ceux publiés par les Éditions de Minuit, sous l'oppression, constituent l'édition publique réservée à la Belgique par un accord conclu avec les Éditions de Minuit. Elle a été limitée à 2000 exemplaires numérotés. Exemplaire n°1225.
    • Première édition clandestine : 1er Août 1944.

mardi 19 mai 2015

Édouard Alexandre de Pomiane (1875-1964)

  • Vingt plats qui donnent la goutte : Unice ad usum Medicorum / Édouard de Pomiane ; [illustrations d'André Giroux].- Paris : Éditions Paul-Martial, 1935.- 96 p. : ill., couv. cart. ill. en coul. ; 22,5 cm.
    • Cet ouvrage a été édité par les éditions Paul-Martial, Paris, pour la Pipérazine Midy des Laboratoires Midy, 67 avenue de Wagram (Paris, 17e)


mardi 12 mai 2015

Gabriel Péri (1902-1941)

  • Deux voix françaises : Péguy Péri / [Textes de Charles Péguy et Gabriel Péri] ; avec une préface de Vercors et une introduction par le Témoin des Martyrs [Aragon] .- Paris : Aux Éditions de Minuit ; Bruxelles : La Renaissance du Livre, [1946].- 88 p. ; 16,5 cm.
    • Les volumes de la présente collection, en tous point conformes à ceux publiés par les Éditions de Minuit, sous l'oppression, constituent l'édition publique réservée à la Belgique par un accord conclu avec les Éditions de Minuit. Elle a été limitée à 2000 exemplaires numérotés. Exemplaire n°0703.
    • Première édition clandestine : 22 juin 1944.

mardi 5 mai 2015

Carlo de Mey (1895-1962)


  • Blessures / Carlo De Mey ; illustrations de A.-E. Marty.- Bruxelles : Éditions du Musée du Livre, 1946.- 15 p. : ill. en coul. ; 27 cm.
    • L'an 1946, le 30 mai, cette plaquette est sortie des presses du maître imprimeur Firmin Desmet, qui y a consacré ses soins les plus attentifs pour le plaisir des membres du Musée du Livre et de quelques bibliophiles. Le texte, composé en caractères Granjon corps 18, est du à la plume de Carlo De Mey. André-E. Marty, l'illustrateur renommé, a dessiné le bandeau et le cul-de-lampe qui ornent le texte et s'harmonisent avec lui. Il a été tiré 100 exemplaires sur papier de Madagascar, numérotés de 1 à 100, destinés aux membres protecteurs, et 2.700 exemplaires sur vélin pur fil.
    • A Germaine Beaumont ce récit qui termine autrement qu'elle ne l'a conçue, une nouvelle due à sa plume et qu'admire beaucoup Carlo de Mey.