jeudi 31 décembre 2009

Francis Beaumont (1585-1616) et John Fletcher (1579-1625)

  • Le Chevalier au pilon ardent : comédie en cinq actes représentée pour la première fois au Théâtre royal du Parc le 16 mars 1939 par le jeune Théâtre de l'Université de Bruxelles / Beaumont et Flechter, traduite de l'anglais pour la scène par Paul de Reul.- Bruxelles : Editions des Artistes, [1939].- 125 p. ; 22,5 cm.
    • La première édition du Chevalier au pilon ardent a été tirée à 500 exemplaires numérotés de 1 à 500. Georges Houyoux, directeur des Editions des Artistes, en exécuta la mise en pages. L'ensemble, composé en caractères Granjon, fut achevé d'imprimer par le maître imprimeur Louis Desmet-Verteneuil, à Bruxelles le quinze avril MCMXXXIX. Exemplaire n°459.

mardi 29 décembre 2009

Georges Duhamel (1884-1966)


  • Hommages et souvenirs / par Georges Duhamel.- Liège (14, avenue Reine-Elisabeth) : A la Lampe d'Aladdin, 1928.- 59 p. ; 16,5 cm.- (A la Lampe d'Aladdin ; 14).
    • Il a été tiré de cet ouvrage, le quatorzième de la collection "A la lampe d'Aladdin" 1 exemplaire unique sur vieux Japon portant le n°1. 20 exemplaires sur papier du Japon, numérotés 2 à 21. 40 exemplaires sur papier Madagascar, numérotés 22 à 61. 300 exemplaires sur papier vergé baroque thé, numérotés 62 à 361. Il a été tiré en outre, 35 exemplaires sur vergé baroque crème, numérotés en chiffres romains I à XXXV, réservés à M. Herbillon-Crombé, libraire à Bruxelles. Exemplaire n°270.

dimanche 27 décembre 2009

Emile Zavie (1884-1943)


  • Chasseurs de nomades / par Emile Zavie.- Paris : A la Cité des Livres, 1927.- 96 p. ; 16,5 cm.- (L'Alphabet des Lettres ; Z).
    • Ce livre, Z de l'Alphabet des Lettres achevé d'imprimer pour la Cité des Livres, le 15 avril 1927, par Ducros et Colas, Maîtres-Imprimeurs à Paris, a été tiré à 440 exemplaires : 5 sur papier vélin à la cuve "héliotrope" des papeteries du Marais, numérotés de 1 à 5 ; 10 exemplaires sur japon ancien à la forme, numérotés de 6 à 15 ; 25 exemplaires sur japon impérial, numérotés de 16 à 40 ; 50 exemplaires sur vergé de Hollande, numérotés de 41 à 90 ; et 350 exemplaires sur vergé à la forme d'Arches, numérotés de 91 à 440. Il a été tiré en outre : 25 exemplaires sur Madagascar réservés à M. Edouard Champion, marqués alphabétiquement de A à Z ; et 30 exemplaires hors commerce sur papiers divers, numérotés de I à XXX. Exemplaire n°262.

vendredi 25 décembre 2009

Paul Géraldy (1885-1983)


  • Toi et moi / Paul Géraldy ; illustrations de Suzanne Coq gravées sur bois.- Bruxelles (163, boulevard Adolphe Max) : Editions du Nord - Albert Parmentier, 1943.- 87 p. : ill. ; 20 cm.
    • Ce livre a été établi par Albert Parmentier, avec la collaboration de Paul Angenot pour le texte et de Maurice Brocas pour la gravure sur bois. Il a été tiré à 7561 exemplaires destinés à la vente, soit : un exemplaire unique, portant le numéro 1, sur japon Vellum Kozo nacré, contenant un état des bois dans le texte, une suite unique sur japon nacré extra mince Tosa Tenjugo, une suite en noir sur hollande Pannekoek et une suite en sépia sur vélin supérieur ; 10 exemplaires (numérotés de 2 à 11) sur japon Vellum Kozo nacré, contenant un état dans le texte, une suite ne noir sur hollande et une suite en sépia sur vélin supérieur ; 50 exemplaires (numérotés de 12 à 61) sur hollande Pannekoek, contenant un état dans le texte et une suite en sépia sur vélin supérieur ; 7500 exemplaires (numérotés de 62 à 7561) sur vélin pur fil Mondosia, contenant un état des gravures dans le textes. Achevé d'imprimer le 25 mars 1943, en caractres Astrée, corps 12, par l'Imprimerie J.-E. Gossens, s.a., Edm. Gregoir étant directeur. Autorisation numéro 362. Cet exemplaire porte le numéro 5815.

mercredi 23 décembre 2009

Regnier de Graaf (1641-1673)


  • L'Instrument de Molière : Traduction du Traité de Clysteribus / de Regnier de Graaf (1668).- Paris (55, Passage des Panoramas) : Damascène Morgand et Charles Fatout, 1878.- 1 f. de pl. en front. ; 125 p. ; 22 cm.

lundi 21 décembre 2009

Emmanuel Marti (1663-1737)


  • Discours sur la musique zéphirienne adressé aux vénérables crépitophiles : opuscule facétieux / d'Emmanuel Marti, doyen de l'église d'Alone ; texte original accompagné de la première traduction et illustré d'historiettes crépitantes par un professeur de basson, [préface par Hubert de Lilpic].- Edition bilingue.- Paris (7, rue Perronet) : Léon Willem, libraire, 1873.- XV-188 p. ; 22 cm.
    • Texte latin-français.- Tiré à 300 exemplaires tous numérotés : 200 papier teinté, 20 chine, 20 Wathman. [Exemplaire] n°203.

samedi 19 décembre 2009

Prouille & Moulié


  • Les Poésies de Makoko Kangourou / publiées par Marcel Prouille et Charles Moulié avec un frontispice de Guy Tollac.- 5e édition.- Paris (53ter, quai des Grands-Augustins) : Dorbon ainé, 1910.- 59 p. : ill. en front. ; 20 cm.
*
* *

PRÉFACE

Au livre des Aventures du Roi Pausole, M. Pierre Louÿs avance que les pays prospères n'ont pas de géographie : rien de plus vrai. Mais il n'est pas moins vrai que les hommes heureux n'ont pas d'histoire. Et feu Makoko Kangourou, dont nous nous faisons ici les humbles cornacs, fut un homme heureux.

Né, en 1870, dans la république de Libéria, en Afrique, d'un ancien candidat à la présidence de la dite république et de l'esclave préférée d'un chasseur d'hippopotames, Makoko Kangourou eut une vie quelconque, remplie de peu d'événements et, d'ailleurs, assez courte. Comme son père était un personnage considérable, (il avait le droit de tuer et de manger les Blancs sans l'autorisation du Gouvernement), Makoko Kangourou, fut, selon la coutume de Libéria, envoyé à Paris, dès qu'il eût atteint l'âge de sept ans. A Paris, sous la surveillance d'une vieille demoiselle allemande et d'un interprète anglais, il suivit les cours du petit lycée Condorcet : ses professeurs prétendent qu'il ne fût jamais un élève hors pair, quoique docile ; et, à dix-sept ans, il était encore dans la classe de sixième. Mais chacun sait que les meilleurs poètes n'ont pas tous été des forts en thème.

A vingt ans, Makoko Kangourou se mit à lire nos auteurs : Baudelaire, Bertrand de Ventadour, Verlaine, Benserade, Gautier, Garnier, Hugo. Et, tout de suite, il eut envie d'écrire, lui aussi. Il écrivit quelques poèmes, les montra à ses amis et les envoya à l'un des Maîtres d'alors qui le félicita et lui répondit par ce billet flatteur :

" Paris, 17 janvier 1891.

"Mon jeune ami,

La feuille où se distille, avec quelle grâce de candeur, votre unanime chanson écrite, me semble fraîche, autour des expressions, même les incorrectes, qui gardent un air que vous seul avez. Outre que vous devinez la poësie incluse en tout, vous voici affronter, tout à l'heure, quelle hardiesse, la mélodie et précisément en sortir vainqueur. Ma main.

M.

M ?... Moréas ? Mendès ? Mallarmé ?... Nous n'avons pas connu Makoko Kangourou, et nous ne savons pas qui signa ces compliments : mais là n'est point l'essentiel.

A vingt-cinq ans, notre poète partait pour Libéria, où il allait mourir peu de temps après son retour. Il emportait avec lui la plupart de ses vers, et nous devons à l'obligeance d'un de ses intimes de publier ceux qu'on lira plus loin.

Voilà tout ce que nous pouvons dire sur cette figure étrange, sympathique et double qu'est celle de Makoko Kangourou. Maintenant, que le lecteur juge : notre tâche est finie.

M. P. et CH. M

jeudi 17 décembre 2009

François Rabelais (1494?–1553)


  • La vie treshorrificque du grand Gargantua pere de Pantagruel iadis composée par M. Alcofribas abstracteur de Quinte Essence. Livre plein de Pantagruelisme, orné de figures du temps / [Rabelais].- Se vend à Paris, à la Sirène, 11, rue de Sèvres, [1919].- 294 p. : ill. ; 18,5 cm.- (Rat de bibliothèque ; 4).
    • La présente édition, la seconde de la série "Rat de bibliothèque" comprenant trois cent vingt exemplaires de luxe, dont 20 Japon ancien numérotés de 1 à 20 et 300 vergé d'Arches numérotés de 21 à 320, a été imprimé par Protat frères à Mâcon.
*
* *

AU LECTEUR

Nous avons, dans cette nouvelle édition de Gargantua, procédé tout de même que pour le premier volume de cette collection : le Testament Françoys Villon. Nous nous sommes efforcé de commenter un texte classique par des documents figurés de la même époque. Cette fois, les images sont presque toutes strictement contemporaines de l'ouvrage. Nous avons suivi le texte de l'édition de Lyon, François Juste, 1542, déjà adopté par Marty-Laveaux et nouvellement aménagé par M. Jacques Boulenger dans la très savante édition des Œuvres de François Rabelais publiée sous la direction de M. Abel Lefranc. Paris, Champion, 1912-1913.

mardi 15 décembre 2009

Pierre Gringo(i)re, dit Vaudemont (1475?-1538?)


  • Rondeaux contenant la Confession d'un amoureux / Pierre Gringore ; [introduction par le comte A. de Blangy].- Caen (7 et 9, rue au Canu) : Typographie-Lithographie Ch. Valin, 1893.- 128 p. ; 27 cm.
    • Tiré à cinquante exemplaires.

dimanche 13 décembre 2009

Marcel Proust (1871-1922)


    • Ce tirage constitue l'édition originale. Il a été tiré 500 exemplaires sur pur chiffon à la forme numérotés de 1 à 500. Exemplaire n°37.

*
* *

[Préface]

Le lecteur habitué à se « plonger avec délices dans l'immense forêt proustienne », comme l'écrivit jadis Paul Souday, trouvera-t-il un peu grêle la silhouette de l'arbrisseau sur lequel nous l'invitons aujourd'hui à porter son regard ?

Nous ne le pensons pas. En effet, ces quatre lettres, adressées par Marcel Proust à ses concierges, ne sont-elles pas un témoignage vivant de ce qu'il fut ?

On y retrouve à peu près tout ce que la « Recherche du Temps perdu » et l'histoire littéraire nous ont permis de connaître de lui : avant tout, sa « gentillesse », son souci de ne froisser personne ; puis son immense besoin de précision, un peu de sa vanité, les soins de sa santé délabrée, et sa scrupuleuse coquetterie morale — pour ne rien dire du curieux mélange de son intelligence lucide et de la naïveté qui l'autorisait à adresser de telles pages aux Antoine.

L'image de lui-même que nous tirons de son œuvre, si plus détaillée, n'est pas plus complète et fidèle que le portrait que voici.

Mais l'essentiel de ce témoignage nous paraît être que : Nous tenons ici, mieux que dans l'amas de toute la correspondance publiée de Proust, la preuve du caractère spontané et naturel de la « Recherche du Temps perdu ». Du style de ces lettres à celui de l'œuvre, à peine d'écart ; et tel passage de ces quelques feuilles serait facilement mêlé, sans attirer l'attention, aux propos sur Françoise.

Il nous a semblé que quelques lecteurs pourraient porter à ce document l'intérêt mélancolique et amusé que nous lui avons trouvé.

A. V.

vendredi 11 décembre 2009

Théophile Gautier (1811-1872)


  • Poésies de Th. Gautier qui ne figureront pas dans ses œuvres précédées d'une autobiographie ornée d'un portrait singulier / [Théophile Gautier ; Poulet-Malassis].- France : Imprimerie particulière [Bruxelles : Poulet-Malassis], MDCCCLXXIII [1873].- 84 p.-1 f.de pl. en front.-1 f. de pl. dépl. ; 21,5 cm.
    • Tirage à 150 exemplaires papier de Hollande, et 12 sur Chine ; les derniers numérotés de 1 à 12. [Exemplaire sur Hollande].




AVERTISSEMENT SUR LE PORTRAIT

Goguenard, cambré, à tous crins, ce Théophile Gautier est celui des Jeune-France, de Mademoiselle de Maupin, de la Comédie de la mort ; - si différent du Gautier impérial, aux paupières gonflées, à la chevelure affaissée, à la démarche lente, que notre génération a connu et que MM. Bracquemond et Jacquemard ont gravé.

Il est réduit d'un portrait-charge lithographié par Benjamin Roubaud, de la série du Panthéon charivarique, publié en 1838, avec cette légende :

Théophile Gauthier (sic) est de ce poil énorme
Né coiffé... Quel toupet ! Puisqu'il n'est amoureux
Systématiquement que de la belle forme,
Il devrait bien changer celle de ses cheveux.


Ce méchant quatrain pourrait être remplacé par les vers superbes du Château du souvenir, dans Emaux et camées :

Terreur du bourgeois glabre et chauve,
Une chevelure à tous crins
De roi franc ou de lion fauve
Roule en torrent jusqu'à ses reins.

Tel, romantique opiniâtre,
Soldat de l'art qui lutte encor,
Il se ruait vers le théâtre,
Quand d'Hernani sonnait le cor...

mercredi 9 décembre 2009

Alphonse Aimé Beaufort d'Auberval (1764-1825)


  • Contes en vers érotico-philosophiques / par Mr. D. B. d'Auberval, auteur d'Elle et Moi, de l'Enfant du Trou du Souffleur (romans philosophiques), et du Méfiant, comédie en trois actes.- Bruxelles (rue des Bogards) : Imprimerie Demanet, 1818.- 2 vol., 183 + 163 p. ; 22 cm.

lundi 7 décembre 2009

Jean-François Cailhava de l'Estandoux (1731-1813)


  • Le Soupé des Petits-Maîtres : ouvrage moral / Cailhava de l'Estandoux ; [Avertissement par Auguste Poulet-Malassis ?].- Réimpression sur l'édition de l'an VI avec les épisodes retranchés dans celle de 1782.-Bruxelles (Impr. de J. H. Briard, 31 rue des Minimes) : Chez tous les libraires, MDCCCLXX [1870].- IV-282 p. ; 16,5 cm.- (Curiosités historiques et littéraires).
    • Tirage à 147 exemplaires : 140 ex. sur papier de Hollande, 4 ex. sur grand papier de Hollande, 3 ex. sur chine.
    • La p. de titre et la couv. portent : "Les estampes sont de la main de l'auteur" [voir ci-dessous].

AVERTISSEMENT

Un scrupule d'éditeur a retardé cette réimpression annoncée il y a plus de deux années déjà. La France littéraire de Quérard, répétée par la Biographie universelle de Michaud, donne à la première édition du Soupé (qu'elle intitule le Soupir) la date de 1772. Se procurer cette édition princeps était pour nous comme un cas de conscience.

Après des recherches aussi infructueuses que longues, nous croyons que Quérard s'est trompé sur la date comme sur le titre. L'édition du Soupé la plus ancienne que nous ayons pu recouvrer est de 1782. Nous y avons copié les suppressions faites par Cailhava dans sa réimpression de l'an VI, très-soignée, très corrigée, et à la fois diminué et augmentée.

Voilà la description de ces deux éditions :

1° LE SOUPÉ, CONTE MORAL ; à Londres MDCCLXXXII ; in-12, en deux parties, ensemble de 223 pp. - Un des plus rare volume de la Bibliothèque amusante.

2° LES CONTES EN VERS ET EN PROSE DE FEU L'ABBÉ DE COLIBRI, OU LE SOUPÉ, CONTE COMPOSÉ DE MILLE ET UN CONTES. Epigraphe : Tout conteur est un sot, - S'il n'embellit la chose en esquivant le mot. - (Les estampes sont de la main de l'auteur) ; Paris, an VI, imp. de Didot jeune, in-18, en deux parties de 157 et 152 pp.

Il n'y a pas d'estampes, mais deux projets de frontispices impossibles, ou à peu près ; satires amusantes de la manies d'images qui avait possédé Dorat et ses émules. - Cette édition de l'an VI s'est vendue sans obstacle durant vingt ans ; les derniers exemplaires, en papier fin, et en papier vélin, sont portés au catalogue de Maradan, 1817. Puisse la présente édition jouir d'une tolérance semblable, fût-elle moins longue de beaucoup !

L'auteur du livre l'avait nommé le Soupé ; M. Charles Monselet l'a baptisé le Souper des Petits-Maîtres, sur les fonts de ses Galanteries du XVIIIe siècle (1). Ce parrain par vocation libertine, a trouvé le vrai titre qui avait échappé au père ; on dirait aujourd'hui : Le Souper des Petits-Crevés.

On trouvera sur Cailhava de l'Estandoux, dans la Biographie universelle de Michaud, une notice étendue, signée A-T (Audiffret). Bien que la liste des œuvres de cet auteur dramatique, en même temps grand théoricien du théâtre, soit fort longue, rien depuis sa mort (1813) n'en a été réimprimé. Son nom est resté surtout par la dédicace du Petit Dictionnaire de nos grands hommes de Rivarol, qui n'est pas précisément une recommandation.

Le Souper des Petits-Maîtres peut ramener un moment sur Cailhava de l'Estandoux l'attention des curieux de littérature galante. Avec ses équivoques, ses afféteries, ses mièvreries, ses gravelures mythologiques, réminiscences scholaires de l'Appendix de diis du R. P. Jouvency, ce petit livre est une date dans l'histoire des mœurs de la jeunesse légère, et peut-être bien le chef-d'œuvre de la littérature trumeau.

___________________
(1) P. 134 de l'éd. Michel Lévy.



samedi 5 décembre 2009

Charles Schaller


  • L'Art de grimer : Manuel à l'usage du Coiffeur de Théâtre, des Acteurs et des Ecoles professionnelles / par Ch. Schaller,... ; préface de Mr René Rambaud,...- 7e édition.- [Haguenau : chez l'auteur], 1938.- 45 p.-XXI f. de pl. en noir et en coul. : ill en front. ; 24 cm.

jeudi 3 décembre 2009

Georges Oudard (1890-19..)


  • La Meilleure maîtresse / par Georges Oudard.- Paris (144, avenue des Champs-Elysées) : Les Éditions des Portiques, 1929.- 126 p. ; 18,5 cm.- (Le Coffret des amoureuses).
    • Il a été tiré de cet ouvrage : vingt exemplaires sur Madagascar, numérotés Madagascar 1 à 20 ; soixante-dix exemplaires sur vélin pur fil Lafuma, numérotés vélin pur fil 21 à 90 ; et trois cents exemplaires sur Alfa satiné Outhenin-Chalandre, numérotés alfa 91 à 390. Exceptionnellement il a été tiré et réservé à l'auteur douze exemplaires sur Arches numérotés I à XII. [Exemplaire] Madagascar n° 18.

mardi 1 décembre 2009

André Corthis (1885 – 1952)


  • La Danseuse impassible / par André Corthis.- Paris (144, avenue des Champs-Elysées) : Les Éditions des Portiques, 1928.- 110 p. ; 18,5 cm.- (Le Coffret des amoureuses).
    • Il a été tiré de cet ouvrage : vingt exemplaires sur Madagascar, numérotés Madagascar 1 à 20 ; soixante-dix exemplaires sur vélin pur fil Lafuma, numérotés vélin pur fil 21 à 90 ; et trois cents exemplaires sur Alfa satiné Outhenin-Chalandre, numérotés alfa 91 à 390. [Exemplaire] Madagascar n° 18.