lundi 22 décembre 2014

Vacances

  • Miscellanées (le blogue) est en pause. Reprise des émissions de billets le lundi 5 janvier à 07h30.

Maxence Van der Meersch (1907-1951)


  • L'Empreinte du Dieu / Maxence  Van der Meersch ; dix illustrations de Claude Chopy.- Annemasse (9, rue de la Gare) : Éditions du Madrigal, 1952.- 343 p.-[9] f. de pl. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm.
    • Cette édition a été tirée sur papier vélin Johannot à cinq mille exemplaires tous numérotés, portant les numéros de un à cinq mille. Exemplaire n° 04106.


vendredi 19 décembre 2014

Henry de Montherlant (1896-1972)

  • Encore un instant de bonheur / Henry de Montherlant ; illustrations originales en couleurs de Marianne Clouzot.- Édition augmentée de quatre poèmes et de Les Femmes et la poésie.- Paris (222, boulevard Saint-Germain) :Éditions Rombaldi, 1951.- 156 p.- [5] f. de pl. en coul. : couv. ill. en coul. ; 20 cm.- (Coll. Rombaldi).
    • Cette édition de Encore un instant de bonheur d'Henry de Montherlant a été achevée d'imprimer le dix-huit mai mil neuf cent cinquante et un sur les presses des maîtres imprimeurs Arrault et Cie à Tours. Les illustrations originales de Marianne Clouzot, gravées sur cuivre, ont été tirées sur les presses à bras de Delahaye et rehaussées au pochoir par Edmond Vairel. Il a été tiré trois mille cinq cents exemplaires numérotés, tous sur vélin crème des papeteries de Rives. Exemplaire n°1995.

mardi 16 décembre 2014

Sidonie Gabrielle Colette (1873-1954)


  • La Vagabonde / Colette Willy ; [avec un] portrait de l'auteur.- Paris (21, rue Hautefeuille) : Les Éditions G. Crès & Cie, MCMXXIII [1923].- 267 p.-[1] f. de pl. en front. ; 23 cm.- (Maîtres et jeunes d'aujourd'hui. 2e série ; 3).
    • Ce livre, le troisième de la collection Maîtres et jeunes d'aujourd'hui (deuxième série), imprimé par Protat frères, de Mâcon, a été tiré à seize cent soixante exemplaires, savoir : dix sur papier de Chine, dont quatre hors commerce, numérotés de I à VI et de VII à X et seize cent cinquante exemplaires vélin pur fil du Marais, dont cent cinquante hors commerce, numérotés de 1 à 1500 et de 1501 à 1650. Exemplaire n°1193.

samedi 13 décembre 2014

Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814)

  • Paul et Virginie [suivi de ] La Chaumière indienne / Bernardin de Saint-Pierre ; [aquarelles de P. Charavel].- Paris (144, avenue des Champs-Élysées) : Éditions Nilsson, 1928.- 225 p.-[6] f. de pl. en coul. : couv. ill. en coul. ; 23,5 cm.



mercredi 10 décembre 2014

Camille Saint-Ange (1850?-1950?)

  • Le Pot-au-Feu : Journal de cuisine pratique et d'économie domestique paraissant le 1er et les 3e samedi du mois.- N°1, 1er Janvier 1910, 18e Année.- Paris (14, rue Duphot, 2e) : , 1910.-16-VIII p. : ill., couv. ill. ; 26 cm.

dimanche 7 décembre 2014

Prosper Montagné (1865-1948)


  • Le Trésor de la cuisine du bassin méditerranéen par 70 médecins de France / Révision et préface par Prosper Montagné. ; ill. de V. Le Campion.- Paris : Editions de La Tournelle [ca1937].- 127 p. : ill., couv. ill. ; 23 cm.

jeudi 4 décembre 2014

Claude Aveline (1901-1992)


  • Lettres portugaises traduites en français / gravures sur bois de Valentin Le Campion.- A Paris (14, rue de l'Abbaye) : Emile-Paul frères, 1947.- 82 p. : ill. ; 23,5 cm.
    • Cette nouvelle édition des Lettres portugaises, ainsi que l'édition originale de Et tout le reste n'est rien, par Claude Aveline, qui l'accompagne, ont été décorées de bois originaux de Valentin Le Campion, et achevées d'imprimer sur les presses de l’Imprimerie André Tournon, à Paris, pour le compte et le plaisir des Frères Emile-Paul le dernier jour du mois de septembre MCMXLVII. Elles ont été tirées à 500 exemplaires, dont 50 sur vélin blanc de Rives, numérotés de 1 à 50, et 450 sur vélin ivoirine des Papeteries Boucher, à Docelles, numérotés de 51 à 500, auxquels il faut ajouter quelques exemplaires de présent numérotés en chiffres romains, pour les amis de l'éditeur. Exemplaire n°129.



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NOTE

TEXTE

Aucune hésitation possible ; il fallait adopter le texte de l’édition originale : LETTRES PORTUGAISES traduites en François (Paris, Claude Barbin, 1669). Cette édition comportait un Avis du libraire Au Lecteur, mais c’était au Lecteur du temps.

ORTHOGRAPHE ET PONCTUATION

Pour la même raison qui m’a fait écarter 1’Avis du libraire, je n’ai tenu aucun compte de l'orthographe ancienne. Son archaïsme purement visuel est plus qu'inutile, il est trompeur. Il charge de colifichets surannés des sentiments dont l'expression exige d'être nue.

En revanche, la ponctuation, fort incorrecte selon les règles actuelles, a tiré grand profit des libertés de l'époque. Il y a par exemple des cascades de deux-points qui servent magnifiquement l’élan de la plume, le flot de la passion. Je ne me suis quand même pas fait une loi de tout respecter, corrigeant le traducteur, ou le typographe de Barbin, lorsqu’il oubliait ses propres intentions.

Quant aux majuscules qui soutiennent certains mots importants, elles sont si nécessaires qu’elles pourraient bien venir de la Religieuse elle-même. Je n’y ai pas touché.
ORDRE DES LETTRES

Tout prouve que la quatrième lettre de l’édition originale (« Votre Lieutenant vient de me dire... ») doit prendre la place de la seconde (« Il me semble que je fais... ») et inversement. Une édition publiée en 1821 chez Kleffer a déjà, paraît-il, adopté cet ordre (Luis Cardim, Les « Lettres portugaises »). Luciano Cordeiro, dans Soror Marianna, a soutenu avec raison la nécessité de ce rétablissement. Les incohérences de l'amour n’ont pas besoin d’être doublées par celles d’un classement fautif. Est-ce le traducteur qui en a été le responsable, ou Barbin ? L’un, parce qu’il tenait chaque lettre pour un chef-d’œuvre complet, et qu’il ne s’est préoccupé du drame que dans sa conclusion ? L’autre — parce que rien n’est plus désinvolte que la plupart des éditions du temps ? La remarque fondamentale de Cordeiro eût dû modifier dorénavant toutes les rééditions des Portugaises. Mais nous sommes scrupuleux aujourd’hui, nous reproduisons avec un soin obtus des erreurs qui crèvent les yeux. Les réimpressions des Lettres continuent presque toutes de singer 1’édition de 1669.

M. Paléologue (Profils de femmes) suggère un ordre différent. Pour lui, « la lettre que l’on considérait jusqu’ici comme la quatrième de la série est évidemment la première », et la première va s’intercaler entre la deuxième et la troisième. Cela, parce que la quatrième évoque le voyage de l'amant, tandis que la première parle de lettres reçues — donc l'amant est arrivé en France. M. Paléologue n’a pas pensé qu’on peut écrire en cours de route, et même avant de partir. Et que, pour sa part, la Religieuse n’avait pas besoin d’attendre l'annonce d’une arrivée pour écrire elle-même. Des détails matériels, surtout quand ils ne comprennent aucune précision de lieu ou de date, n’auront jamais raison devant des évidences psychologiques. La première lettre est évidemment la première. La quatrième n’est que la seconde.

C. A.
 
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  • Et tout le reste n'est rien / de Claude Aveline ; gravures sur bois de Valentin Le Campion.- A Paris (14, rue de l'Abbaye) : Emile-Paul frères, 1947.- 129 p. : ill. ; 23,5 cm.

    • Cette édition originale de Et tout le reste n'est rien, par Claude Aveline,  qui accompagne la nouvelle édition des Lettres portugaises, a été décorée de bois originaux de Valentin Le Campion, et achevées d'imprimer sur les presses de l’Imprimerie André Tournon, à Paris, pour le compte et le plaisir des Frères Emile-Paul le dernier jour du mois de septembre MCMXLVII. Elles ont été tirées à 500 exemplaires, dont 50 sur vélin blanc de Rives, numérotés de 1 à 50, et 450 sur vélin ivoirine des Papeteries Boucher, à Docelles, numérotés de 51 à 500, auxquels il faut ajouter quelques exemplaires de présent numérotés en chiffres romains, pour les amis de l'éditeur. Exemplaire n°129.


lundi 1 décembre 2014

Raymond Thiollière (1881-1929)


  • Douze très anciennes chansons pour enchanter la peine ou parer le plaisir, avec les airs et les paroles / recueillies et ornées de gravures sur le bois par Raymond Thiollière, [avant-propos de J. Ernest-Charles.- Paris (3, rue des Saint-Pères) : Éditions André, 1923.- Np. : ill. ; 39 cm.
    • Justification du tirage : 1 exemplaire grand luxe sur papier XVIIIe siècle et une suite des bois tirés sur Japon pelure numéroté 1, contresigné par l'artiste ; 25 exemplaires sur Japon impérial Iusetukioku, format 28 x 38, numérotés 2 à 26 contresignés par l'artiste ; 50 exemplaires sur papier Madagascar (Lafuma-Navarre), format 28 x 38, contresignés par l'artiste ; 174 exemplaires sur Hollande Van Gelder, format 28 x 38, numérotés 78 à 250, contresignés par l'artiste. Exemplaire n° H.C.





[PROSPECTUS]

[1]


[2-3]

Le peintre RAYMOND THIOLLIÈRE s'est, en trois ou quatre ans, révélé comme l'un des meilleurs graveurs de ce temps. Nous ne le connaissons pas encore à sa valeur. Certes, - il ne nous l'a pas célé, -il a beaucoup voyagé à travers le monde. Mais son voyage le plus beau, ç'a bien été celui qu'il a fait dans la vieille France et dont il rapporte un recueil de chants populaires. Un graveur, tout de suite, il reconnaît, en ces textes anciens, un accent qu'il aime. Dans son art, on a de ces simplifications et de ces tournures. Richesse et naïveté s'y marient sous un air délicieusement réaliste. Ce n'est pas pour rien que les graveurs, autrefois, ornaient tout de même les Danse Macabre, les Noëls et les livres de ritournelles. Par aventure, il s'est trouve que RAYMOND THIOLLIÈRE était un lettré. Le folklore l'a passionné. D'un long travail de recherches, de comparaisons et de recoupements est sorti un recueil
tout d‘abord demeuré oral et puis manuscrit. Sur les instances d'amis à qui il les chantait, il a gravé les airs, car il est aussi musicien. Ces airs, il les a pris tout tremblants sur les lèvres mêmes des vieilles personnes qui ne les tenaient que de la tradition orale. Il a écouté de vieilles paysannes bretonnes, le soir, aux veillées ; il a surpris des couplets sur la bouche de marins qui naviguaient avec lui sur la mer atlantique. Invinciblement le manuscrit appelait les ornements graphiques. Et c’est ainsi que, tout naturellement, douze planches gravées sont venues se placer en regard des chansons. Lorsqu'on le lira ou le chantera, ce qui à coup sûr, manquera à ce recueil, c'est l'auteur. Je m'explique : pour tant qu’il ait mis de soi dans ces planches, pour tant de talent qu’il ait prodigué, il y manque cet art qu’il a de chanter à la guitare ces chants qu’il restitue dans la meilleure version. Tel quel, voici, je crois, un ouvrage unique. Le même artiste a recueilli, gravé les airs, illustré les textes : et des œuvres littéraires de la vieille France que les temps n'arrivent pas à faner, n’en sont point déparées. Ce n’est pas une petite réussite.

ÉLIE RICHARD.


[4]


vendredi 28 novembre 2014

Elsa Triolet (1896-1970)


  • Elsa Triolet choisie par Aragon / [Elsa triolet ; introduction par Aragon, bibliographie par Lucien Scheler].- Paris (142, Boulevard Diderot, 12e) : Club des Amis du Livre progressiste, 1961.- 364 p.-[8] p. de photographies ; 20 cm.
    • Tirée à part spécialement pour cette édition reliée, la suite de gravures en phototypie comporte des photographies de rodchenko, Tretiakov, Gisèle Freund, Cartier-Bresson, Willy Ronis, Pablo Volta et du Musée Gorki.



mardi 25 novembre 2014

Anne-Gabriel Meusnier de Querlon (1702-1780)


  •  Les Soupers de Daphné suivi de Psahion ou la Courtisane de Smyrne et Les Dortoirs de Smyrne : Œuvres badines / de Meusnier de Querlon ; le tout réimprimé pour la première fois sur les éditions originales, augmenté d'un avant-propos et de nombreuses notes par Olivier de Gourcuff, bibliophile breton.- Bruxelles (65, rue des Palais) : Chez Henry Kistemaeckers éditeur, 1883.- 132 p.-[3] f. de pl. ; 18 cm.
    • Tirage : 400 exemplaires sur papier teinté, 100 exemplaires sur Hollande.

samedi 22 novembre 2014

Flipbook


  • Striptease / Santiago Melazzini.- Buenos Aires (115, Pasaje Rivarola) : La Marca Editora, 2010.-  Np. : ill., couv. ill. en coul. ; 6 cm.- (Cine de Dedo).

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Some years ago, I came across two old boxes that had been left outside an abandoned antique shop. Inside I found a paper bag which contained a handful of old, dusty cans, so rusty that it took me an entire day to open them. When I finally did, I discovered amongst an array of unused film, two beautiful strip tease takes, probably filmed in the 1940's. Forgotten all those years, they were waiting for the right moment to see the light.


Santiago Melazzini, Buenos Aires, 2006.


mercredi 19 novembre 2014

Susan Meiselas (1948-20..)


  • Carnival strippers / Susan Meiselas, with essays by Sylvia Wolf and Deirdre English.-[2nd ed., rev.].- New York (Madison avenue at 75th street) : Whitney Museum of American Art ; Göttingen (Düstere Str., 37073) : Steidl, 2003.- 163 p. : ill., couv. sous jaq. ill. ; 25 x 29 cm. + 1 cd audio.
    • ISBN : 3882439548.


dimanche 16 novembre 2014

Philippe Gras (1942-2007)


  • Cinéma de la rue / photographies et présentation [par] Philippe Gras et Jean-Noël Delamarre ; [préface de Daniel Sauvaget].- Paris : Société Nouvelle des Éditions du Chêne, 1977.- N/p. : ill. en coul. ; couv. ill. en coul. ; 20,5 cm.- (Coll. Parole à l'image).
    • ISBN : 2 85 108 127 6.


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Qui prête attention-à ces affiches géantes, attribut essentiel des salles de cinéma des boulevards et art mural d'une espèce très particulière, sans lesquelles le spectacle de la rue, à Paris surtout, perdrait beaucoup de ce charme trouble qu'on a tort de juger vulgaire ? 

Ces affiches-frontons dont les tailles les plus courantes sont 3 m x 2 m et 6 m x 2 m sont de simples toiles peintes, œuvres anonymes au confluent de la contrainte publicitaire et des stéréotypes d'une authentique imagerie populaire, nées dans les conditions d'une production encore largement artisanale. Le principal établissement spécialisé dans cette branche, Publi-Décor, compte trente-cinq employés. Créé en 1946 par son actuel directeur M. Chiff, il succédait à une autre société, Sinaï, disparue pendant la guerre et dont il était lui-même issu. Il est passé de quatre-vingts cinémas-clients à sa création, à plus de cent cinquante aujourd'hui et cela malgré une diminution importante du nombre des salles de quartier et de banlieue. 

L'atelier de peinture travaille en fonction des nouveautés de la programmation. Les peintres, debout et ne bénéficiant d'aucun recul, ne disposent que de quelques documents - des photos du film dans la plupart des cas- qu'ils doivent reproduire mais aussi souvent recomposer selon la technique de la mise au carreau. 

Aussi ce travail suppose-t-il une invention, un montage parfois, tout en établissant avec l' « original » un rapport d'agrandissement fabuleux qui, à lui seul, suffit à transfigurer l'image et le signe. La masse des commandes est le fait des salles d'exploitation des circuits populaires où on s'embarrasse peu du souci de fidélité au contenu du film ou au sens de l'œuvre d'art... Les films d'aventures (jungle, western, cape et épée), d'épouvante et de fantastique (vampires, Frankenstein, monstres japonais et autres créatures étranges), de science-fiction, les films-péplums, les tarzanneries, les « Karaté », sans oublier les innombrables films "sexy», ont donné lieu à des œuvres de grande qualité « idéale » et typique, en plein accord avec le goût populaire pour l'étrange et le dépaysement. 

Ces genres ont permis à Publi-Décor de dépasser la convention et d'atteindre une signification qui déborde largement le domaine publicitaire. Le cinéma de « la rue » pouvait se consommer sans alibi grâce à une production installée solidement dans les mythes les mieux assimilés de son public, à travers les codes et les stéréotypes (à ne pas confondre avec les poncifs) les mieux enracinés dans le spectaculaire.

Aujourd'hui, le cinéma populaire s'est transformé. Certains genres cinématographiques vieillissent mal, et les œuvres d'ateliers tels que Publi-Décor, largement dépendants des distributeurs ne peuvent que suivre cette évolution en se concentrant sur l'amélioration technique. Les images se sont affinées, cependant que l'exigence de la ressemblance devenait de plus en plus impérieuse. 
On ne veut plus être, ou avoir l'air « naïf ». 

Cette production imagière ne se retrouve plus que dans des circuits aux limites précises : Barbès, Pigalle, Sébastopol, Grands Boulevards, et aussi dans le décor forain et de cirque.

Ainsi demeurent en place, dans la mouvance du cinéma populaire encore imprévisible, l'infrastructure et le goût qui nous ont valu des centaines d'œuvres trop peu connues mais passionnantes. 

Daniel Sauvaget.

jeudi 13 novembre 2014

Constantin Champon (1839-1909)

  • Contes à dire : Chansons & fantaisies : Deuxième série / Constantin Champon ; avec une eau-forte de Ad. Lalauze.- Paris (72, boulevard Haussmann) : L. Sauvaitre, 1899.- 129 p.-[1] f. de pl en front. ; 19,5 cm.
    • Il a été tiré e tout 370 exemplaires sur papier vergé de Hollande, numérotés. [Exemplaire] n°73. Achevé d'imprimer le 15 décembre 1899 par Constantin Champon, 136-138, rue Saint-Honoré.

lundi 10 novembre 2014

Jacques Boria (1885-19..)

 
  • Notre pauvre cœur / par Jacques Boria [Hubert Schmit] ; couverture par Geneviève Stump, vignettes par Anthony Stuffers.- Chicago : Ralph Fletcher Seymour Publishers, 1919.- 52 f. : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm.
    • This edition of "Notre Pauvre Cœur"  is limited to 200 de luxe numbered copies on Albion decke edge paper, bound in special wrappers, and signed by the author ; and 600 copies of the regular edition. Printed by Ralph Fletcher Seymour The Alderbrink Press, Chicago, MCMXIX. Number 120.



vendredi 7 novembre 2014

Constantin Champon (1839-1909)

  • Contes à dire : Chansons & fantaisies / Constantin Champon ; avec une eau-forte de Ad. Lalauze.- Paris (72, boulevard Haussmann) : L. Sauvaitre, 1895.- 118 p.-[2] f. de pl. en front. ; 19 cm.
    • Il a été tiré en tout 100 exemplaires sur papier vergé de Hollande  et 200 exemplaires sur vélin, numérotés. [Exemplaire] n°57 avec 2 états du frontispice. Achevé d'imprimer le 30 janvier 1895 par Constantin Champon, typographe à Paris, 136-138, rue Saint-Honoré. Mise en pages par Vincent d'Herre. Tirage par Philippe Lincks.

mardi 4 novembre 2014

Isidore Lucien Ducasse, comte de Lautréamont (1846-1870)

  • Œuvres complètes : Les Chants de Maldoror, Poésies, Correspondance / du Comte de Lautréamont (Isidore Ducasse) ; étude, commentaires et notes par Philippe Soupault.- A Paris (37, avenue Kléber) : Au sans Pareil, MCMXXVII [1927].- 440 p. ; 19 cm.
    • Mention de neuvième édition sur la couv.- Pour constituer la première édition de ce livre, achevée d'imprimer le quinze mars mil neuf cent vingt-sept par les Presses Modernes, à Troyes-en-Champagne, il a été tiré 325 exemplaires sur vélin Montgolfier, d'Annonay, numérotés de 1 à 325, les 20 premiers étant hors-commerce et réservés aux Amis du Sans Pareil.

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HISTOIRE DES CHANTS DE MALDOROR

En 1868, Isidore Ducasse termine le premier des Chants de Maldoror et il relit, avec surprise, les pages qu'il avait écrit pendant quelques nuits. Il hésite, il doute même. A la fin du Chant I, il écri­vait : « S'il est quelquefois logique de s'en rappor­ter à l'apparence des phénomènes, ce premier chant finit ici. Ne soyez pas sévère pour celui qui ne fait encore qu'essayer sa lyre : elle rend un son si étrange ! Cependant, si vous voulez être impartial, vous reconnaîtrez déjà une empreinte forte au milieu des imperfections. Quant à moi, je vais me remettre au travail pour faire paraître un deuxième chant dans un laps de temps qui ne soit pas trop retardé ! » Le début de cette dernière strophe est en quelque sorte une postface. Isidore Ducasse, qui n'avait pas encore trouvé son pseudonyme, décida de publier immédiatement ce premier chant pour observer l'accueil que ferait la critique et le public. Il avait tout de même confiance en lui et conscience de la puissance de sa poésie. Il reprend : « La fin du dix-neuvième siècle verra son poète. Puis il hésite de nouveau et ajoute cette parenthèse : « Cependant, au début, il ne doit pas commencer par un chef-d'œuvre, mais suivre la loi de la nature. »

Il cherche une imprimerie et publie une plaquette après avoir essuyé les refus de plusieurs directeurs de revues.

Cette plaquette est couverte d'un papier gris. En voici la description :


LES CHANTS || DE || MALDOROR || CHANT PRE­MIER || par *** || imprimerie Balitout || août 1868 || premier chant || prix : 0 fr. 30.

1 plaq. de 52 p., couverture gris clair, impr. en noir.

Aucun article, aucune lettre ne salua l'apparition du Chant I. Mais Isidore Ducasse continue à écrire et il achève le sixième chant. Un ami, probablement Alfred Sircos, lui avait reproché le manque d'intrigue de son ouvrage. Il répond à ces objections dans la première strophe du Chant VI et annonce : « Espé­rant voir promptement, un jour ou l'autre, la consé­cration de mes théories acceptée par telle ou telle forme littéraire, je crois avoir enfin trouvé, après quelques tâtonnements, ma formule défini­tive. C'est la meilleure ; puisque c'est le roman. »

Lorsqu'il eut terminé les Chants de Maldoror il chercha un éditeur. Il s'adressa aussitôt à un nommé Lacroix, qui venait de s'installer en face de son hôtel. Dans le courant de 1869, il délivra les derniers bons à tirer de son livre et celui-ci allait être broché, lorsque l'éditeur qui se prétendait continuellement en but aux persécutions de l'Empire, en suspendit la mise en vente à cause de certaines violences de style qui en rendaient la publication périlleuse. Isidore Ducasse se refusait à amender les violences de son texte, Ce n'est qu'après s'en être longtemps défendu, qu'il consentit aux modifications qui lui étaient demandées. Des cartons destinés à remplacer les passages réputés dangereux, devaient être tirés. La guerre de 1870 éclata, et l'auteur mou­rut n'ayant exécuté qu'une partie des révisions auxquels il avait consenti.

Dans une lettre datée du 12 mars 1870 et adressée à son banquier, Ducasse a donné d'autres détails : « J'ai fait publier un ouvrage de poésies chez M. Lacroix. Mais une fois qu'il fut imprimé, il a refusé de le faire paraître, parce que la vie y était peinte sous des couleurs trop amères, et qu'il craignait le procureur général. C'était quelque chose dans le genre du Manfred de Byron et du Konrad de Mickiewicz, mais cependant bien plus terribles. L'édition avait coûté 1.200 francs, dont j'avais déjà fourni 400 francs. Mais le tout est tombé dans I'eau. »

En 1869, Ducasse exigea de son éditeur quelques exemplaires de son livre : on lui en brocha une dizaine. La couverture de ces exemplaires est jaune et compo­sée ainsi que le titre de la façon suivante : LES CHANTS || DE || MALDOROR || par || le || Comte de Lautréamont || (Chants I, II, III, IV, V, VI) || Paris || En vente chez tous les libraires || 1869.

Au verso du faux titre et en quatrième page de la couverture : Bruxelles. Imprimerie de A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie, boulevard de Waterloo, 42.

En 1874, un libraire belge, chargé des intérêts de Lacroix qui avait fait faillite, fit brocher des exemplaires avec un titre et une couverture anonymes.

La couverture est brun-marron. Le titre est composé ainsi :


LES CHANTS || DE || MALDOROR || par || le Comte de Lautréamont || (Chants I, II, III, IV, V, VI) || Paris et Bruxelles || En vente chez tous les libraires ||1874. Au-dessous de la couverture, dans le double filet, cette mention : Tous droits de traduction et de reproduction réservés. Au verso du faux titre : Bruxelles. - Typ. de E. Wittermann. Cette der­nière mention est fausse, aucun imprimeur de ce nom n'ayant existé à Bruxelles.

L'éditeur Lacroix qui avait décidément de la per­sévérance, n'oublia pas les
Chants de Maldoror Après une ou plusieurs faillites, il décida un de ses amis, ou plutôt son prête-nom, Louis Genonceaux, à republier les Chants de Maldoror, dont Léon Bloy, sur un ton un peu cavalier et singulièrement étonné avait parlé dans le n° 33 de la Plume.

Le titre est ainsi composé.

Comte de Lautréamont
|| LES CHANTS || DE || MAL­DOROR || Chants I, II, III, IV, V, VI || marque de l'éditeur || Frontispice de José Roy || Paris, L. Genon­ceaux, éditeur, 1890 || Tous droits réservés.

Il a été tiré de cette édition 10 exemplaires sur Japon, signés et numérotés.

La couverture couleur rouille est imprimée en deux couleurs : MALDOROR et L. Genonceaux sont imprimés en rouge.
 
Sous la table des matières, l'édition porte la mention suivante : Maisons-Laffitte. - Imprimerie LUCOTTE.

Cette édition passa presque complètement inaperçue. Gourmont la signala et pendant quelques mois les poètes symbolistes parlèrent des Chants de Maldoror. Le Chant I de Maldoror fut reproduit dans un numéro de Vers et Prose.

En 1912, dans la revue La Phalange, Valéry Larbaud, puis Léon-Paul Fargue consacrèrent des articles à Lautréamont.
 
En 1920, Blaise Cendrars, qui conseillait le directeur des éditions de la Sirène, fit faire une nouvelle édition, la troisième.

Le titre est ainsi composé :


COMTE DE LAUTRÉAMONT || LES CHANTS || DE || MALDOROR || CHANTS I, II, III, IV, V, VI ET UNE TABLE || Marque de l'éditeur || Éditions de la Si­rène || 12, rue La Boétie || Paris || 1920.

La couverture est blanche.

Le tirage fut de
1.360 exemplaires dont 80 sur papier vergé des Manufactures de Rives, numérotés de 1 à 80 ; 1.250 sur papier vergé d'Angleterre, numérotés de 81 à 1.330 ; et 30 exemplaires sur papier vergé bleu, numérotés de 1331 à 1360.

En 1925, les Éditions Au Sans Pareil publièrent la quatrième édition qui contenait cinq lettres inédites de Ducasse.

Le titre est ainsi composé :


LES CHANTS DE || MALDOROR || par || le Comte de Lautréamont || avec cinq lettres de l'auteur || et le fac-similé de l'une d'elles || A Paris || Au Sans Pareil, 37, Avenue Kléber || M.CM.XXV || « La Bonne Compagnie ».

L'édition fut limitée à 1.090 exemplaires numé­rotés : 90 sur vergé blanc de Hollande (1-90) et 1.000 exemplaires sur vélin Lafuma de Voiron (91-1090). En outre, furent tirés 20 exemplaires hors commerce numérotés de I à X X.

samedi 1 novembre 2014

Benjamin Péret (1899-1959)

  • Le Déshonneur des poètes [précédé de] La Parole est à Péret / Benjamin Péret ; introduction de Jean Schuster.- Paris : Jean-Jacques Pauvert, 1965.-88 p. ; 18 cm.- (Liberté ; 23).

mercredi 29 octobre 2014

Yves Le Manach (1943-20..)

  • Le Fritisme : frites, tribalisme et identité / Yves Le Manach.- Quimperlé (238, rue J.-M. Carer, Bourg de Baye, 29300) : Éditions La Digitale ; [Bruxelles] : Les Artichauts de Bruxelles, 2004.- 61 p. : couv. ill. ; 21 cm.

dimanche 26 octobre 2014

Charles Baudelaire (1821-1867)

  • Six Poèmes et "Le Masque de la Mort Rouge" traduit d'Edgar A. Poë / Charles Baudelaire, [Edgar A. Poë].- [Londres : Comité National Français, 1943].- 20 p. ; 17,5 cm.
    • La présente brochure a été publiée à l’occasion du Concert ; 3 Baudelaire et la musique française" donné le 7 février 1943 au Wigmore Hall, Londres, W.I, sous les auspices du Comité National Français. Les passages imprimés en italiques sont ceux qui ne figurent pas dans la version musicale des poèmes, exécutée au cours de ce concert. Édition limitée à quatre-cents exemplaires numérotés. [Exemplaire] n° 300.

jeudi 23 octobre 2014

Jean Dratz (1903-1967)

  • Petit bréviaire de l'amateur de vin / texte de Henri Brochier ; illustrations de Jean Dratz.- Neuvième édition.- Bruxelles (55, rue du Congrès) : Revue Belge des Vins et Spiritueux, 1951.- 47 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 25,5 cm.
    • Le PETIT BRÉVIAIRE de l'Amateur de Vin, texte de Henri Brochier, illustré par Jean Dratz a été composé et imprimé par Robert Louis, Maître Imprimeur à Bruxelles. Il a été tiré de cet ouvrage : 150 exemplaires sur papier de Hollande De Haesbeek numérotés de 1 à 150 ; 25 exemplaires hors commerce sur papier Japon Banzay numérotés de I à XXV.

lundi 20 octobre 2014

Gustave Flaubert (1821-1880)

  • La Légende de Saint Julien l'Hospitalier / par Gustave Flaubert ; bois de Pierre Falké.- Paris : Pour les amis de la Librairie Gründ, MCMXXXIX [1939].- 48 p.-[1] f. depl. en front. : ill., couv. ill. ; 25,5 cm.
    • Cet exemplaire portant le n°412 vous est offert par la Librairie Gründ avec ses meilleurs vœux pour 1939. Cette édition limitée à mille exemplaires sur vélin pur fil Lafuma des papeteries Navarre, a été achevée d'imprimer le dernier jour de décembre mil neuf cent trente-huit sur les presses de l'imprimerie La Semeuse à Étampes.



vendredi 17 octobre 2014

Emile Verhaeren (1855-1916)

  • Émile Verhaeren avec un portrait par Ch. Bernier.- Bruxelles : Association des écrivains belges - H. Lamertin, MCMXVII [1917].- 126 p.-[1] f. de pl. en front. ; 23 cm.- (Anthologie des écrivains belges de langue française).


ÉMILE VERHAEREN

L'œuvre poétique d’Émile Verhaeren est essentiellement nationale. L'un des premiers, il a apporté dans nos lettres cette vision ardente de la nature plantureuse, de la vie exubérante, qui inspira les peintres de la magnifique école flamande.

Quelquefois il s'est directement inspiré de leurs chefs-d'œuvre ; ailleurs, dans ses sensations de campagnes flamandes, il en a glorifié comme eux l'opulence matérielle, la couleur violente, la force un peu brutale ; il a exprimé la beauté grave, terrible ou attirante de l'Océan avec cette émotion sincère, profonde et poétique qui ne se retrouve que chez ceux dont le sommeil d'enfant a été bercé par -la voix monotone de la mer.

Les violences de la vie physique ont eu, dans son œuvre, leur reflet dans la vie morale ; certains de ses poèmes sont d'un mysticisme farouche, passionné, plein de fièvre et d'exaltation.

Il a exprimé aussi toutes les souffrances de la vie sociale, l'impuissance des hommes devant les fatalités du monde et l'indifférence impitoyable de ses lois ; il a vu dans l'art l'affranchissement magnifique des servilités de l'existence et dans l'amour l'abri tutélaire et lumineux, le refuge sûr et inviolé, la sauvegarde suprême du bonheur et de la félicité.

A côté de l'œuvre lyrique et dramatique d’Émile Verhaeren, il faut signaler les nombreux articles de critique qu'il' publia ; les études d'art et les notes curieuses, d'une observation aiguë et d'une sensibilité très vive, qu'il rapporta de ses voyages en Allemagne, en Italie et en Espagne.

Son œuvre reflète toutes les aspirations de son caractère, depuis ses émotions les plus naïvement douces jusqu'à ses rêves les plus fougueux et le plus emportés. Elle est une des plus caractéris­tiques de notre littérature nationale.


BIBLIOGRAPHIE

Les Flamandes, 1883. (Bruxelles, Hochstein.)
Contes de minuit, 1885, avec frontispice par Theo Van Rysselberghe. (Bruxelles, Franck.)
Joseph Heymans, 1885. Edition de la Société nouvelle. (Bruxelles, Monnom.)
Les Moines, 1886. (Paris, Lemerre.)
Fernand Khnopff, 1887. Edition de la Société nouvelle. (Bruxelles, Monnom.)
Les Soirs, 1888, avec frontispice par Odilon Redon et ornementation par Fernand Khnopff. (Bruxelles, Deman.)
Les Débâcles, 1888, avec frontispice par Odilon Redon et ornementation par Fernand Khnopff. (Bruxelles, Deman.)
Les Flambeaux noirs, 1891, avec frontispice par Odilon Redon et ornementation par Fernand Khnopff. (Bruxelles, Deman.)
Les Apparus dans mes chemins, 1891. (Bruxelles, Lacomblez.)
Les Campagnes hallucinées, 1894, avec couverture orne­mentée par Theo Van Rysselberghe. (Bruxelles, Deman.)
Almanach, 1895, avec ornementation par Theo Van Rysselberghe. (Bruxelles, Dietrich et Cie.)
Les Villages illusoires, 1895, avec quatre images par Georges Minne. (Bruxelles, Deman.)
Les Villes tentaculaires, 1896, avec couverture ornementée par Theo Van Rysselberghe. (Bruxelles, Deman.)
Emile Verhaeren, anthologie, 1896, avec portrait de l'auteur et ornementation par F. Khnopff et Theo Van Ryssel­berghe. (Bruxelles, Deman.)
Les Heures claires, 1896, avec ornementation par Theo Van Rysselberghe. (Bruxelles, Deman.)
Les Aubes, drame, 1898, avec couverture ornementée par Theo Van Rysselberghe. (Bruxelles, Deman.)
Les Visages de la vie, 1899, avec couverture ornementée par Theo Van Rysselberghe. (Bruxelles, Deman).
Le Cloître, drame, 1899, avec couverture en deux tons par Theo Van Rysselberghe, (Bruxelles, Deman.)
Petites légendes, 1900, avec ornementation en deux tons par Theo Van Rysselberghe. (Bruxelles, Deman.)
Philippe II, tragédie, 1901. (Paris, Mercure de France.)
Les Forces tumultueuses, 1902. (Paris, Mercure de France.)
Rembrandt, 1905. (Paris, Laurens.)
La multiple Splendeur, 1906. (Paris, Mercure de France.)
Les Lettres françaises en Belgique, 1907, conférence faite au Musée du Livre à l'occasion de l'Exposition du Livre belge d'art et de littérature. (Bruxelles, Lamertin.)
James Ensor, I908. (Bruxelles, Van Oest.)
Les Plaines, 1911. (Bruxelles, Deman.)
Les Heures du Soir, 1911. (Leipzig, Insel Verlag.)
Les Blés mouvants, 1912. (Paris, Crès.)
Hélène de Sparte, Tragédie en 4 actes, 1912. (Paris, Nouvelle Revue Française.)
Les Villages illusoires, 1914, ill. de 15 eaux-fortes de H. Ramah. (Leipzig, Insel Verlag.)
La Belgique sanglante, 1915. (Paris, Nouvelle Revue Française.)
Poèmes légendaires de Flandre et de Brabant, ornés de bois, gravés par Raoul Dufy, 1916. (Paris, Société litté­raire de France.)
Les Ailes rouges de la Guerre, 1916. -.(Paris, Mercure de France.)
Parmi les Cendres, 1916. (Paris, Crès.)
Poèmes. 1re SÉRIE : Les Flamandes, les Moines, les Bords de la Route. (Paris, Mercure de France.)
Poèmes. 2me SÉRIE : Les Soirs, les Débâcles, les Flambeaux noirs. (Paris, Mercure de France.)
Poèmes. 3me SÉRIE : Les Villages illusoires, les Apparus dans mes Chemins, les Vignes de ma Muraille. (Paris, Mercure de France.)

ÉDITIONS ÉTRANGÈRES


Poems of Emile Verhaeren, traduits pat Alma Strettel, 1897. (Londres et New-York, chez John Lane.)
The Dawn, traduction des Aubes par Arthur Seymour, 1898. (Londres; chez Duckworth.)
Les Petits Vieux, 1901, édition ornementée par Lucien Pis­saro. (Londres, imprimée par l'Eragny Press.)
Espagna Negra, traduction des Impressions d'Espagne par Dario de :Re-goy-os, - avec préface 'de Rodrigo Soriano, 1899. (Barcelone.) 
Images japonaises, 1900, illustrations de Kwasson. (Tokio, T~ Hasegawa.)

mardi 14 octobre 2014

Sidonie Gabrielle Colette (1873-1954)

  • Trois... Six... Neuf... / Colette, de l'Académie Goncourt.- Paris : Corréa, 1946.- 106 p.- 16,5 cm.

samedi 11 octobre 2014

Sidonie Gabrielle Colette (1873-1954)

  • Claudine à l'école / Willy et Colette Willy ; illustrations de Suzanne Ballivet.- Bruxelles : Éditions du Houblon, [ca1950].- 242 p.- [8] f. de pl. en coul. : couv. ill. ; 21 cm.

mercredi 8 octobre 2014

Théodore Hannon (1851-1917)



  • Le Mirliton priapique : 69 quatrains contre le spleen avec un culispice folâtre / Frère Culpidon, [frontispice d'Amédée Lynen.- Au Mont Caramel : En la sacrée confiserie [Bruxelles (65, rue des Palais) : Henry Kistemaeckers, 1883].- N.p.-[1] f. de pl. : ill. ; 19 cm.
    • Cette artistique plaquette étant exclusivement réservée aux bibliophiles et non mise dans le commerce, n'a pas eu besoin d'un parrain, c'est-à-dire d'un éditeur. L'impression en a été dirigée par l'éditeur HENRY KISTEMAECKERS, 65, rue des Palais, à Bruxelles, sur la demande expresse de l'auteur.